De nos jours, les ingrédients toxiques
contenus dans les tampons et les serviettes jetables incluent de
l’aluminium, des alcools, des additifs de parfum (particulièrement irritants) et des hydrocarbures, sans oublier les pesticides.
Pire encore, certains procédés de blanchiment des tampons laissent des résidus de dioxine. Cette dioxine,
présente à l’état de traces plus ou moins importantes dans de nombreux produits liés à l’hygiène corporelle,
entre alors en contact direct avec la peau et les muqueuses :
produits liés à l’hygiène féminine… Beaucoup sont touchés.
La paroi vaginale étant très absorbante, les substances chimiques
qui composent ces produits jetables n’ont alors aucune difficulté à pénétrer l’organisme.
Le problème est que le corps ne sait pas s’en débarrasser
et qu’il accumule au fil du temps, toutes ces toxines dangereuses pour la santé.
Selon Greenpeace, « la dioxine est l’une des substances synthétiques les plus toxiques jamais étudiée » et ses effets sur la santé des femmes pourraient inclure l’endométriose, des dysfonctionnements ovariens, une fertilité amoindrie, l’incapacité de mener une grossesse à terme, des changements hormonaux, et certainement le cancer.
De par leur imperméabilité, les serviettes en plastique, notamment les protège-slips utilisés quotidiennement, favorisent la macération et la prolifération bactérienne
(E.coli en milieu humide). Cela produit des odeurs nauséabondes, déséquilibre la flore vaginale et la muqueuse et peut provoquer le développement de mycoses, irritations, démangeaisons et infections.
Et, qui dit plastique, dit pétrole, pollution, importants volumes de déchets et recyclage difficile…
Dans les rayons, impossible
de trouver la composition exacte des produits. Aucune des grandes marques n’a poussé le zèle jusqu’à mentionner les constituants de ses tampons ou serviettes vendus
sur le marché, dans la plus grande ignorance des consommatrices. Seul Tampax
se targue de le faire mais ne convainc absolument pas ( d'un point de vue personnel après chacun sa vision)
Pour se pencher de plus près sur le tampon, une utilisation prolonger peut amener des risques de SCT (Syndrome du Choc Toxic).